■ Il est en couple avec Luvlee mais ils font plus s'engeuler que d'autre chose même-ci tous les deux ressentent la même chose un envers l'autre, ils sont juste incapable de s'accorder comme toute personne normale.
■ Son père vient tout juste de sortir de prison, il ne l'aime pas vraiment, préférent sa mère mais il ne veut pas non plus être méchant avec lui même-ci son père à le don de l'exaspérer. Il a déjà essayer de lui parler normalement mais celui-ci a dévié le sujet pour parler des problèmes de son fils.
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Elle m'avait forcé, j'avais l'air d'un enfant abattu quand je mis les pieds avec elle dans le petit bureau de la psychologue Heidi Smith. Elle était de renommé national et une amie de Luvlee avait cru bon de nous envoyé la voir car elle trouvait que les engueulades à répétitions était devenue ennuyante. J'avais d'abord refuser catégoriquement de mettre un pied dans se bureau mais Luvlee avait une sorte de pouvoir qui faisait que j'étais incapable de lui dire non et encore une fois elle avait usé de ce charme pour m'avoir. Je ne pouvais rien faire contre elle et elle le savait et l'utilisait de son plein gré pour être capable de me mettre à sa merci. C'était dans se petit bureau que je compris qu'elle voulait seulement contrôler, quand je me vis dans le miroir placer sur le côté de la pièce, assis à côté de Luvlee, sans lui toucher ce qui était très rare, que je compris qu'elle aimait me contrôler et que j'aurais pu ne rien dire mais le problème était que je voulais faire la même chose qu'elle. Pourtant, je ne savais pas comment réagir dans une parfaite situation et c'est pour cela que j'étais assis sur se sofa alors que j'aurais préférer être ailleurs, qu'on parle mais pas devant cette femme qui faisait peur tellement qu'elle avait une allure bizarre. Cette femme, j'aurais préférer ne jamais la rencontrer et travailler sur mon couple sans elle.

« Alors, bonjour à vous deux. Je suis Heidi Smith, on m'a dit que vous aviez quelques problèmes, et à voir votre dossier, je dirais que vous en avez plus qu'un et pourtant vous n'êtes ensemble que depuis deux mois, est-ce que vous pouvez m'expliquer cela Rowan. »
« En fait, on se connaît depuis un ans et quelques mois mais on est ensemble que depuis deux mois. Disons qu'on est pas le couple parfait, on se chicane souvent mais on a pas besoin d'un psychologue pour nous dire que notre couple à des problèmes on le sait déjà. »
« Donc maintenant tu pense pour moi, je n'ai plus un mot a dire nul part. Tu sais tout sur nous, donc dans se couple il a juste Rowan, moi j'ai rien a faire là dedans. Certain, c'est moi qui a essayé de te convaincre de venir ici, donc c'est certain qu'on a besoin de personne pour nous le dire, on le sait déjà mais tu veux pas juste écouter ce qu'elle veut dire bon sang! Peut-être que si tu l'écouterais à la place de sauter au conclusion, on serait ici, peut-être que si tu m'écoutais et que la vie ne serait pas seulement à propos du grand Rowan Rhodes, on ne serait pas ici! »

Des fois, je voulais juste qu'elle se la ferme, qu'elle arrête de dire tout ce qui lui passait par la tête, pour une fois qu'elle ne le remettre pas en question. La psychologue ne lui avait demander que son opinion mais comme d'habitude, ce qu'il avait dit avait encore une fois fait péter les plombs. Je l'écoutais parlé et j'aurais voulu lui dire de la fermer mais cela l'aurait provoquer encore plus et je ne voulais pas commencé une chicane devant l'autre qui nous regardais et prenait des notes comme-ci on était des animaux et qu'elle ne faisait que rire de nous. Au fond, cette folle s'amusait à voir des couples se détruire peu à peu. Je regardais Luvlee puis la folle puis Luvlee. Pourquoi est-ce que j'étais ici, j'aurais pu être dans ma voiture dans une couse ou encore en train de voir un verre, mais non j'étais assis sur ce sofa inconfortable à entendre ma petite copine se complainte à propos de notre couple et cette folle qui nous regardait et posait des questions à Luvlee mais ce fut la question après quelques minutes que je n'écoutais plus qui fit que mon attention revint:

« Et votre vie sexuelle? Elle est normale, active ou terne? Je ne veux pas tous les détails mais est-ce que vous le faites souvent ou encore vous préférez le faire à certains jours? »
« Heu... hé bien... »
« Bien sûr, maintenant tu as peur de parler. Tu te vantes à tout le monde de notre vie sexuelle mais là, quand quelqu'un peut nous aider tu ne veux rien dire. »
« Tu ne peux pas pour une fois me laisser parler sans rien dire, tu as l'air de vouloir tant parler vas-y dit y. Répond à la question, je suis certain qu'elle va l'adorer, comme cela on pourra sortir d'ici plus vite et je pourrais faire d'autre chose que de regarder une folle me poser de question sur ma vie sexuelle et ma copine me crier dessus parce que pour une fois, je dis mon opinion. »
« Encore une fois c'est ma faute, encore une fois il y a juste moi le problème. Tu veux que je parles de notre vie sexuelle alors je vais le faire. Vous voyez madame Smith, c'est la seule chose sur quoi on peut s'entendre, on peut le faire n'importe où, n'importe quand. Monsieur Rowan à besoin de le faire minimum trois fois par jours et si ce n'est pas avec moi, il va aller voir ailleurs comme cela il pourra revenir vers moi et faire semblant d'être gentil. Content, je lui ai dit. Comme cela tu va pouvoir aller faire tes stupides courses et je vais m'occuper toute seul comme d'habitude. »

Un long soupir sortit de ma bouche, elle m'exaspérait mais chaque fois qu'elle se fâchait, elle avait ses traits fin et si calme qui se crispait et qui la faisait paraître méchante et c'était toujours pour cela que je craquais. Elle était tellement irrésistible et chaque fois qu'on se chicanait, on savait très bien comment tout se terminait mais peut-être qu'elle croyait que j'allais ne rien faire. Je regardais la pièce pour voir si il n'avait pas une petite pièce seul où j'allais pouvoir être seul avec elle. Je vis une petite porte et alors que la psychologue allait nous poser une question je pris le bras de Luvlee et en même temps que de me diriger vers la porte que j'avais vue, je dis à la folle:

« Vous nous excusez une seconde madame Smith? »
« Tu peux me dire ce que tu as derrière la tête Rowan Rhodes. »
« Tu vas voir. »

La psychologue ne pu rien dire, quand j'avais une idée on ne pouvait pas me faire changer d'idée et cela beaucoup le savait, la porte c'était avait claquer et a peine rentrer dans ce qui ressemblait à un placard à balai, que mes lèvres se posaient sur les siennes. Je ne sais pas pourquoi mais on était incapable de rester fâcher l'un contre l'autre. En fait, après, elle redevenait fâcher car elle voulait que je change, je pourrais changer, je devrais changer parce que je ne voulais pas la perdre, même-ci je ne le disais pas. Je la regardais dans les yeux quand quelqu'un cogna dans la porte, je savais parfaitement que c'était la folle mais je ne voulais pas qu'elle arrête ce moment.

« Je suis désolée de vous déranger mais j'ai d'autres clients. »
« On ne vas pas faire de bruit! »