Citez douze points important à savoir sur votre personnage. Que ce soit ses manies, une partie de son histoire, c'est à votre guise ! Comme il s'agit aussi de tester votre niveau, ne faites pas une seule phrase par point, essayer d'élaborer un tout petit peu !

■ Il était une fois ma vie. Je suis née à Los Angeles, plus précisément dans un petit quartier habité par les plus riches des États. Ma mère top model et mon père PDG de sa propre entreprise, je n'ai jamais manqué de rien, sauf peut-être d'amour, ce qui expliquerait mon comportement de sale égoïste et de petite salope. Voilà que deux ans après ma naissance, j'apprenais que la famille s'agrandissait. Après neuf long mois d'attente, Hailee Delilah Johnson fût mit au monde. Je l'ai longtemps détesté, oh oui. Pourquoi ? Simplement car elle avait toute l'attention, et ça me rendait plus que folle.

■ Du haut de mes huit ans, j'ai commencé à me maquillé et à me mettre du parfum. Ma mère ne disait rien, quand à mon père, il était bien trop occupé avec son travail et avec les petites salopes avec qu'ils couchaient. J'avais à peine sept ans lorsque je l'ai découvert. Nous étions à une importantes soirées de milliardaires. À vrai dire, c'était une soirée comme les autres car des soirées comme ça, il y en avait à presque chaque mois ! Enfin, bon, revenons à ma découverte. J'avais très envie d'aller au petit coin. Sachant que je savais exactement où se trouvait le bureau de mon père où la salle de bain se trouvait, ma mère me laissa aller. C'est lorsque j'ouvris la porte que je les vis. Cette sale garce, à genoux sur mon père, entrain de l'embrasser. J'en suis restée carrément bouche B. J'ai plusieurs fois voulu tout révélé à ma mère mais mon père m'a fait promettre de ne rien dire.

■ Cris, pleurs & claquement de portes. Ça dura une heure. Ma soeur n'avait que neuf ans, et elle pleurait toutes les larmes de son corps. Moi essayant de la consoler, je savait très bien ce qui se passait de l'autre côté de ma porte de chambre; mes parents venaient tout juste de se quitter. Après avoir gardé le secret pendant plus de trois ans, je n'en pouvais plus. Je voyais comment ma mère aimait mon père, mais je savais aussi comment lui profitait d'elle. Il n'était avec elle que pour son argent et son corps. Ma mère changea les serrures, le numéro de téléphone mais ça ne suffit pas. Mon père continuait à lui juré que tout ce que j'avais dit était purement tiré de mon imagination. C'est alors que ma mère lui demanda comment une fillette de onze ans pouvait imaginer des choses pareilles mais surtout dire des choses comme cela à propos de personnes qu'elle aime plus que tout au monde. Mon très cher père en resta bouche b. Le lendemain, moi, ma mère et ma petite soeur avons quitté LA pour Miami, où ma cousine et ma tante habitait depuis un bon moment.

■ J'ai du habité pendant presqu'un an chez ma cousine, pour être plus précise; dix mois, deux semaines et quatres jours. J'avais du l'enduré pendant tout ce temps. Ce qui est bien, c'est que j'avais quelqu'un que je pouvais embêter tant que je le désirais car à chaque fois que je faisais une petite remarque, elle se fâchait automatiquement. Oui, j'avais une soeur pour ça mais avec ma soeur... j'étais incapable de l'embêter ou bien de me disputer avec elle. J'avais plusieurs fois tenté le coup lorsque j'étais plus jeune mais sans succès. Puis j'avais une autre raison de tappé sur le système de ma très chère cousine, Luvlee. Je voyais très bien que ma mère vait un faible pour celle-ci. Mais ayant eu l'habitude d'avoir tout l'attention dès le très jeune âge, je ne supportais point la toute mignonne jeune fille qui me servait d'horrible cousine. Puis plus les années avancèrent, plus la situation était pire.

■ Quinze bougies, quinze bougies se trouvait sur mon gâteau le 26 novembre 2003. Presque toute ma famille ce trouvait là. Mes parents, ma soeur, des amis à eux, mes amis à moi, mes oncles, mes tantes, mes cousins et mes cousines. Il y avait même mon petit ami du temps qui était là. Tout allait bien, jusqu'à ce que mon petit ami me demande si nous pouvons parler seul à seul. Après m'être rendu dans ma chambre, je ferme le porte derrière moi. Une demie-heure plus tard, toute ma famille pouvait entendre la porte de ma chambre se claquer. Il venait tout juste de rompre avec moi. Le jour de mon anniversaire en plus ! Mais comment avait-il pu faire un truc pareil ? J'aurais donné ma vie pour lui. Je lui avais même donné une des choses les plus importantes chez un être humain; sa virginité. Il avait bel et bien été ma première fois. Mais voilà que ce jour là, je l'ai regretté. Je suis restée enfermer dans ma chambre pendant trois jours. Ayant une salle de bain dans ma chambre et une mini cuisine, j'avais tout donc ce que j'avais besoin dans ma chambre, mon univers.

■ C'est lorsqu'un cris provenant de ma chambre résonna à travers la maison que, quelques secondes plus tard, je vis ma soeur apparaître dans le cadre de porte de ma chambre, plus essouflé que jamais. Inquiète, elle s'approcha de moi et me demanda ce qui était arrivé, prennant l'objet qui se trouvait dans mes mains. Voyant ce qui était indiquer sur l'objet ma soeur laissa échapper un petit cri qui lui aussi se fit raisonné à travers la maison. Quelques minutes plus tard, on vit ma mère apparaître dans ma chambre.

« Voyons les filles, qu'est-ce qui vous arrive à la fin ? »
« Maman... c'est simplement que... »
« Que j'ai un affreux bouton dans le cou ! »
« Un bouton ?! Allez, montre moi ça, ma belle. »
« NON ! Je... Je veux pas. »
« Allez, il ne doit pas être si montrueux ce bouton. Et il partira dans quelques jours. »
« Maman, tu as pas une dinde au four, dit moi ? »
« Oh mon dieu ! La dinde ! »

Puis c'ets sur ce que ma mère partit en courant pour gardé un oeil sur sa fameuse dinde qu'elle avait mit des heures à bien préparé pour le souper de famille du réveillon. Et oui, nous étions le 24 décembre.

« Merci. »
« Y'as pas de quoi. Mais tu vas faire quoi maintenant ? Et tu penses que... »
« J'en sais rien. Mais c'est sûr que c'est Oliver. C'est le seul avec qui j'ai couché. »
« Et comment tu comptes l'annoncer à maman ? Et surtout quand ? »
« J'en ai strictement aucune idée. » c'est les larmes aux yeux que je dis cette phrase.
« T'inquiète pas, je suis là moi, et je serai toujours là. Tu peux compter sur moi, fais moi confiance. »
« Merci soeurette, jt'adore. »
« Moi aussi jt'adore S. »

Et voilà, ma soeur était la première au courant. Je n'avais que quinze ans à peine et j'étais enceinte de mon ex petit ami, Oliver.

■ Voilà plus de cinq mois que ma mère était au courant. Elle eu beaucoup de difficulté à l'accepté mais elle finit par si faire. J'étais enceinte de six mois. Ma mère avait un nouveau petit ami depuis un mois à peine. J'étais couché sur le dos, dans mon lit, une main sur mon gros ventre de future maman et je regardais de temps à autre mon réveil-matin. Il était présentement 23h56, et ma mère n'était pas encore de retour. Elle était partie à une soirée bénifice qui était organisé une fois par quatres mois et ma mère était la deuxième tête de ce projet intelligent. Quand à ma soeur, elle était sorti avec quelques copines pour fêter l'anniversaires d'une d'elles. Moi, j'étais coincé à la maison, plus précisément dans ma chambre car le stupide mec qui me servait de beau-père avait invité deux amis à venir écouté le football sur notre écran plat. M'entendant descendre l'escalier, il s'adressa à moi.

« Hey ma jolie, va me chercher une bière. »
« Tu peux bien te la mettre où je pense ta bière espèce d'imbécile ! »
« Pardon ? »
« Tu as très bien comprit, connard. »

Puis c'est alors que je les vis, lui et ses deux amis, s'approcher de moi, et me dire à quel point ils adoraient les jeunes femmes blondes, surtout celles enceintes. Puis c'est dans ma chambre que j'ai terminé. Je me suis réveillée, ignorant quel heure il était mais surtout quel jour et quel mois. Puis je me souvins alors. Nous étions en Janvier. Mais l'heure et le jour ne me venait pas à l'esprit. J'avais ouvrit les yeux, doucement. Une lumière éclatante était pos sur moi. Puis ma vue devint plus claire. Je me trouvais dans une chambre d'Hôpital. Ma mère avait la tête couché sur une petite partit de mon lit, à la hauteur de mes hanches. Lorsqu'elle se réveilla et constata que j'étais éveillé, elle se mise à pleurer. Ma soeur, elle, était assise sur une chaise, couverte par une couverture beige. J'ai alors demandé à ma mère ce qui c'était passé. Je voulais savoir. Je voulais avoir réponse à toutes ses questions qui défilaient dans ma tête.

« Maman... Que s'est-il passé ? »
« Hum... Je t'ai retrouvé, nu, dans ton lit, avec Rick et ses deux amis. D'après les diagnostiques, tu aurais été drogué. Le médecin m'a dit à quel point du était chanceuse d'être toujours en vie tellement la dose d'héroïne et de cocaïne était élevé. »
Puis je mis une main sur mon ventre, me souvenant du coup du bébé que je portais depuis maintenant bientôt sept mois. « Maman... Et le bébé ? »
« Je... Ils ont essayé de le sauver mais... il était déjà trop tard. La dose de drogue avait fait son effet. Je suis vraiment désolée, ma chérie. »

■ Au lycée, personne n'avait su que j'avais été enceinte, ayant supposément quitté Miami pour un voyage d'affaire avec ma mère, aujourd'hui, j'étais de retour au lycée. Et en quelques jours à peine, on me réélu reine des abeilles. C'est alors que je le rencontra. Beau, Grand, Chatain. Son prénom; Y. Je voyais bien que depuis quelques jours il essayait de m'aborder. Mais à chaque fois je trouvais autre chose à faire. Je l'aimais bien, ça oui. Mais étant une des filles les plus populaires du lycée, je ne pouvais sortir avec lui. Puis il finit enfin par m'aborder. Le courant passa assez bien et plus le temps passait, plus on se rapprochait. Jusqu'au jour où il m'avoua qu'il m'aimait.

« Sephira, je dois te dire un truc. »
« Je déteste quand tu commences une phrase avec ses mots mais... vas-y. »
« J'y ai bien pensé, je me suis posé plusieurs questions pendant un bout de temps et j'en ai conclu que... je t'aime. »
« Heum... »
« Heum ? Disons que je n'aurais pas attendu un simple 'heum' de ta part. »
« C'est juste... wow. Surprenant. On a que couché ensemble quelques fois, à part ça, on est de bons amis... c'est tout. »
« J'ai une question à te posé. Est-ce que toi et moi c'est plus qu'un simple jeu ? Si non, on surmontera les remarques des autres, les parents et toute autre épreuve qui se présentera sur notre chemin, crois moi. Mais si ce n'est qu'un simple jeu... je ne pourrai pas le supporté, et je ne vais pas désirer te revoir un jour. » Je vis alors le meilleur ami de Y se dirigé vers le jeune homme, mais il se figea à moins d'un mètre de lui.
« Nous... Ce n'est qu'un jeu pour moi. Je suis désolée. » Puis il quitta les lieux sans rien ajouter. Son meilleur ami vint me voir.
« Mais pourquoi tu as fait ça Sephira ? »
« Parce que je l'aime, mais je ne peux le rendre heureux. »

Voilà, tout avait été dit. Sephira couchait d'un côté puis de l'autre à dix-sept ans à peine. Elle ne pourrait pas arrêter ça du jour au lendemain, même si elle était éperdument amoureuse de ce beau blond, qui venait de lui dire les trois mots qu'elle avait tant attendu. La popularité lui était monté à la tête, et elle en avait profité pour faire des folies. Mais aujourd'hui elle perdait un être très cher à ses yeux; l'homme de sa vie.

■ Voilà presque deux ans que je ne parlais plus avec Y. Lorsqu'il passait à côté de moi, il faisait tout simplement comme si je n'existais pas et ça me brisait le coeur en milles morceaux. Puis voilà qu'une rumeur fit réveillé la garce en moi, garce qui allait profité de sa peine d'amour pour s'amuser. Apparement, ma très chère cousine était tombé amoureuse de ce très cher Rowan. Je le conaissais très bien, le jeune homme étant le plus beau du lycée et un des mecs le plus populaire. C'était un samedi soir. Et tout le monde sait que le samedi soir est égal à fiesta. J'avais -comme toujours- un peu trop bu, essayant d'oublier Y qui se frottait à une connasse depuis presqu'une heure. Puis c'est alors que je vis Rowan monter à l'étage, seul. Étant venu plusieurs fois chez lui, où la fiesta avait lieu, j'ai monté, quelques minutes après le jeune homme. Première pièce que j'ai visité; sa chambre. Et par chance, il y était. Allonger sur son lit, les yeux fermés, j'en ai profité et je me suis mise à genoux sur le beau brun.

« Qu'est-ce qu'un aussi beau brun fait tout seul dans sa chambre ? »
« À vrai dire, heum... »
Je mis un doigt sur sa bouche, me rapprochant de lui en plus de son visage. « Chuut. » Puis je finis par l'embrasser. Vous pouvez bien vous imaginez la suite après.